Heures d'ouverture de la galerie :
du lundi au vendredi de 10h à 12h et de 15h à 19h.
Le samedi de 10h à 12h et de 15h à 18h.
Galerie du Tableau
Diem Perdidi est une association créée en 1990 et dont l’objet est " la promotion des artistes plasticiens de la Région Provence Alpes Côte d’Azur ".
Depuis 1991 Diem Perdidi gère la Galerie du Tableau, rue Sylvabelle, à Marseille.
C’est un petit espace agrandi par le temps. En proposant un artiste par mois, la Galerie du Tableau, n’aurait pu en vingt-deux ans n’en proposer que deux cents.
Pour l’heure ce sont deux mille expositions et plus qui ont eu lieu.
Le 17 décembre 1990, un " microbe " de Max Ernst était proposé pour l’inauguration. Une épidémie s’est, ce jour-là, déclarée.
Dans cette galerie sont exposées des oeuvres d’art contemporain avec cette singularité que les expositions se déroulent selon un rythme bimensuel. Autrement dit un lundi sur deux a lieu un vernissage. Ainsi plus de 2000 artistes, pour la plupart de la Région PACA, ont pu présenter leurs travaux à la Galerie du Tableau.
Outre cette activité régulière, Diem Perdidi organise des manifestations qui permettent des échanges internationaux : Il s’agit alors soit de permettre aux artistes de la Région d’exposer à l’étranger, soit d’organiser l’accueil d’artistes étrangers dans la Région PACA.
Diem Perdidi
MR POST : exposition du 18 au 30 mars 2024
Catalogues en PDF des expositions précédentes à télécharger
Avec le soutien de :
En partenariat avec :
Galerie du Tableau
La chasse au Trésor
Travaillez, prenez de la peine ;
C’est le fonds qui manque le moins
.(…)
Un trésor est caché dedans.
Jean de La Fontaine
Alexandre Diot, alias Mr Post, se remet au dessin après une longue période d’ascèse. Il s’est emparé du graphite et de la sanguine pour se confronter à des espaces imaginaires dont il s’efforce de saisir la complexité.
Son affection pour ce qu’il est convenu d’appeler street art, ou expression assez brute sinon primitive dans l’espace public, demeure inchangée, ce qui confère une identité si particulière à son travail. Gestes rapides, dynamiques et contrastés, recherche d’équilibres souvent précaires, antagonismes, dislocations, liaisons à découvrir, ou soulignées à la sanguine. Tensions et percussions.
L’unité d’écriture de la série et l’homogénéité de la démarche sont évidentes. L’homme possède un style, il s’y tient avec assiduité tout en s’efforçant de l’épurer.